• Les syndicats signataires ont décidé de s'unir en intersyndicale pour promouvoir leur conception d'une Université de service public et, en conséquence, pour faire front contre la fusion des établissements du PRES Sorbonne Paris Cité et contre la structure de l'Idex votée au conseil d'administration du PRES le 20 juin.

    La décision d'inscrire "clairement" l'université Paris Diderot "dans la perspective de l'université unifiée Sorbonne Paris Cité" a été prise dans la plus grande opacité, sans concertation ni avec les différentes catégories de personnel, ni avec les composantes.
    Pour réfléchir à ces questions engageant leur avenir et leurs conditions de travail, les personnels de Paris Diderot doivent bénéficier de toutes les informations nécessaires. Or, la présidence, au nom de la "transparence",  a diffusé "tous" les documents relatifs au projet d'IDEX présenté devant le jury international... mais en supprimant voire en remplaçant des passages clefs.

    L'intersyndicale juge cette pratique contraire à l'exigence démocratique qui doit prévaloir dans notre université.

    Les sections Paris-Diderot P7 des syndicats suivants :

    Ferc-supCGT, FSE - Sud étudiant, UNSA Education, SGEN-CFDT, Snasub-FSU, SNCS-FSU, SNEsup-FSU, SNPREES F.O., Sud Education

    Les dissimulations du projet IDEX


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  • Que faire ?

    Boycotter l’entretien ?

    Le SNASUB estime que cela n’a de sens que dans le cadre d’une démarche collective majoritaire, au minimum à l’échelle d’un établissement ou d’un service. L’action individuelle en la matière serait de faible portée et exposerait son auteur à des conséquences pas forcément faciles à assumer.

    Pour faciliter cette démarche, le SNASUB propose un modèle de courrier à adresser collectivement aux supérieurs hiérarchiques, leur exposant les motifs qui conduisent les signataires à refuser l’entretien. Dans la mesure où la démarche collective s’avérerait impossible et où il faudrait se rendre à l’entretien, ce courrier peut être utilisé, moyennant les adaptations nécessaires, comme un élément des observations que chacun a le droit de demander à joindre au compte-rendu.

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  • Quelles catégories de personnels et quels services risquent d’être touchés par le
    projet d'unification de l'Université?
    Les étudiants, les personnels Biatoss, les enseignants-chercheurs et les chercheurs ne sont pas
    tous touchés au même titre par les projets de fusion. Si l'on extrapole à partir des mutations
    survenues à la suite de l’application de la loi LRU et du passage aux responsabilités et
    compétences élargies, on peut pronostiquer l'amplification de deux tendances lourdes : d'une
    part, l'embauche de personnels en CDD en lieu et place de personnels statutaires (en 2012, les
    CDD constituent plus du quart de la masse salariale, pour les rémunérations principales) et
    d'autre part, la réduction du nombre de Biatoss par suppression de « doublons », notamment
    dans les services centraux, par la mise en place de « plateformes financières », par le
    développement du secrétariat par internet ou par la mutualisation de scolarités. Par ailleurs, la
    gestion d'une seule et même université au gigantisme inédit, sur plus de dix sites, ne peut que
    faire redouter une dégradation des conditions de travail. A la question d'un collègue demandant
    s'il était envisageable que des personnels techniques soient contraints de travailler sur plusieurs
    sites, voire d'en changer pendant une même journée, le président Berger a répondu que la
    fusion était « une chance pour les personnels Biatoss de se voir enfin offrir les perspectives
    accrues de mobilité qu'ils réclament ».

    Lire la totalité de la FAQ sur le projet d'université unifiée qui nous concerne tous !


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  • La pétition visant à obtenir un referendum sur les projets d'Université unifiée
    a recueilli à ce jour 300 signatures dont 260 électeurs au Conseil
    d'Administration de l'Université Paris Diderot. Rien dans les statuts ne précise
    ce qu'il faut entendre par "membre du personnel", ce qui laisse un doute sur le
    fait que les personnels CNRS votant au CA soient comptabilisés. Il convient donc
    de continuer à signer et à faire signer la pétition hébergée à l'adresse
    suivante:

    http://universites.ouvaton.org/referendum-P7-confederation/index.php?petition=1

    Par ailleurs, le collectif à l'initiative de la pétition a reçu, directement ou
    par courrier électronique, des questions qui appelaient une réponse collective.
    Vous trouverez ICI les éclaircissements demandés.


    ----------------------------------
    Pétition proposée par le Collectif pour une Université Confédérale Garantissant
    Collégialité et Libertés Académiques.


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