• Le 20 octobre 2009, l’intersyndicale de l’enseignement supérieur et de la recherche a lancé une grande enquête en ligne sur l’emploi précaire dans l’enseignement supérieur et la recherche publique en France.
    Elle concernait à la fois les personnels précaires des universités et ceux des établissements de recherche. Au total, 4 409 personnes ont répondu au questionnaire. L’ensemble des répondant.e.s est représentatif de l’ensemble des catégories et des métiers. Restituant les trajectoires individuelles, l’enquête permet de saisir la réalité de la précarité pour les personnes qu’elle concerne directement et a pour objectif de sortir la précarité et les précaires de l’invisibilité.

    Le dépouillement partiel des 3200 premiers questionnaires apporte des informations importantes, certes provisoires, sur la situation des personnels en situation précaire. Qui sont les précaires ayant répondu à l’enquête ? Dans la recherche et l’enseignement supérieur, les précaires, si notre enquête est représentative de la population des précaires, sont en majorité des femmes (59%). des trentenaires (38% ont moins de 30 ans sans les doctorants, la moitié avec les doctorants). Une minorité importante (16%) est constituée de quadragénaires et de quinquagénaires, parmi lesquels les femmes sont fortement surreprésentées (70%).

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  • Rencontre autour de  L'Université et la Recherche en colère, à 19h vendredi 19 mars à la librairie L'Arbre à Lettres République.
    Avec la participation de Claire Akiko-Brisset (Paris7, coordinatrice de l'ouvrage), Julia Bodin (BIATOSS Paris 7), Christophe Mileschi (Nanterre), Etienne Boisserie (Président de SLU)

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  • Devant le refus de toute négociation, nous, personnels BIATOSS, avons manifesté une fois de plus notre mécontentement lors de l’assemblée générale du 23 février 2010.

    Parce que nous sommes attachés à remplir pleinement nos missions de service public, nous avons accepté des conditions de travail de plus en plus pénibles. Aujourd’hui les conditions que nous subissons ne nous permettent plus de faire face aux objectifs qui nous sont imposés.

    Dauphine, pendant très longtemps, a été incapable de mettre en œuvre des outils permettant son bon fonctionnement. C’est uniquement grâce à notre investissement que l’ensemble des services a pu rester performant malgré des moyens de gestion très archaïques.

    Nous avons tous contribué à la notoriété de Dauphine !

    Aujourd’hui Dauphine se lance dans la « modernisation des services » et nous pourrions nous en réjouir, mais force est de constater qu’elle ne met pas les moyens humains indispensables à cette transformation si nécessaire et que cette modernisation se fait contre nous.

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  • Devant le refus de toute négociation, nous, personnels BIATOSS, avons manifesté une fois de plus notre mécontentement lors de l’assemblée générale du 23 février 2010.

    Parce que nous sommes attachés à remplir pleinement nos missions de service public, nous avons accepté des conditions de travail de plus en plus pénibles. Aujourd’hui les conditions que nous subissons ne nous permettent plus de faire face aux objectifs qui nous sont imposés.

    Dauphine, pendant très longtemps, a été incapable de mettre en œuvre des outils permettant son bon fonctionnement. C’est uniquement grâce à notre investissement que l’ensemble des services a pu rester performant malgré des moyens de gestion très archaïques.

    Nous avons tous contribué à la notoriété de Dauphine !

    Aujourd’hui Dauphine se lance dans la « modernisation des services » et nous pourrions nous en réjouir, mais force est de constater qu’elle ne met pas les moyens humains indispensables à cette transformation si nécessaire et que cette modernisation se fait contre nous.

    Voir le texte complet de l'intersyndicale dans la rubrique Solidarité - ça se passe chez nos collègues

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  • De notre correspondant à Paris 8 :

    Cela faisait plusieurs mois que nous demandions un bilan statistique de la tenue des entretiens professionnels à Paris 8. Celui-ci nous a été communiqué au cours du dernier CTP (voir fichier joint). Il apparaît que 67% des personnels de l'université n'ont pas suivi cet entretien qui, rappelons le, conditionnera à l'avenir nos rémunérations et nos carrières. Nos collègues, sensibilisés sur le sujet, ont donc massivement adhéré à la démarche de boycott à laquelle nous appelions. Ce résultat laisse espérer que tout n'est pas joué, même si la mobilisation ne peut être que nationale.

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