• PPP, kezako ?

    Partenariats Public-Privé, des contrats désiquilbrés :

    En réalité, le partenaire public, en assumant seul les risques, fait un chèque en blanc à son partenaire privé. On assiste donc actuellement au Québec à la généralisation d’un modèle de PPP déséquilibré. Dans ce modèle, seul le partenaire public assume les risques financiers tandis que le partenaire privé bénéficie d’une source de revenu stable et assurée pour plusieurs années.

    La France devrait tirer un enseignement de ces expériences, sur lesquelles le bilan juridico-financier a été réalisé avec un recul suffisant.

    La question n’est pas théorique et concerne directement les universités françaises.    lire ici

    "Ces contrats ont suscité et suscitent toujours une opposition forte parmi les architectes… " Pourquoi ? A lire ici

    PFI (PPP) : les Ecossais parlent d’or :  PFI » (Private finance initiative) , dont on sait que le contrat de partenariat français a été largement inspiré. Les résultats ne sont pas au rendez-vous et les aléas sont difficilement maîtrisables par la collectivité publique. un sondage effectué auprès de tous les architectes écossais, et dont le résultat est sans appel : 85 % d’entre eux considèrent que les bâtiments scolaires construits sous PFI en Ecosse sont de mauvaise qualité, compte-tenu des économies réalisées par les entreprises 

    Pour en savoir plus nous vous recommandons la lecture du dossier "Les syndicats face aux contrats de partenariat public-privé"

     

    La multinationale et l’université : conflit de chantier - Jade Lindgaard, Médiapart, 27 juillet 2010

    PPP, l'Odre des Achitectes lance l'alerte. Un article du POOLP (Personnels Obstinément Opposés à la loi Pécresse)

     

     


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