-
Trop de composantes à Paris Diderot ?
C'est en tout cas ce que laisse entendre Simone Bonnafous, directrice générale pour l' enseignement supérieur et l'insertion professionnelle (DEGESIP) dans sa lettre d'attention à Paris Diderot.
Cette lettre a été rendue publique par une des listes de mobilisation autour projet SPC (Sorbonne Paris Cité), mais personne ne semble avoir relevé cette remarque de la DEGESIP sur les composantes, "dont le nombre de 23 parait élevé".
Lire ici la lettre d'attention
Association, ComUE ? Oui, la lecture des textes est ardue, rébarbative, compliquée. Mais c'est bien de notre devenir dont il s'agit.
Les Biatss, qui seront ceux qui paieront le plus cher la fusion annoncée à travers la ComUE que s'apprête à signer notre CA ne doivent pas rester silencieux et invisibles. C'est pour cela que nous vous invitons à signer la pétition pour demander un moratoire et un vrai débat sur le choix que nous permet la loi. Il faut que cette pétition affiche l'inquiétude des Biatss.
Car, oui, nous avons à craindre des mutualisations, des mobilités forcées à l'intérieur de SPC, une moindre représentation des Biatss au CA de SPC...
Nous avons appris qu'un audit interne des scolarités était en cours à Paris Diderot sous la forme d'un questionnaire détaillant les taches de chacun des acteurs en scolarité, nous appelons les collègues des scolarités à la plus grande vigilance. Ce questionnaire doit servir à la prochaine commission des postes mais nous craignons également qu'il ne serve à baisser certaines primes fonctions. Et nous ne savons pas comment il pourra être utilisé dans le cadre de SPC.
-
Commentaires