• Après le rassemblement devant le ministère le 11 février dernier, lors du CTPMESR, et le vote unanime des syndicats contre le projet de décret portant création du statut des "techniciens des bibliothèques", l'intersyndicale des bibliothèques s'est réunie à nouveau et a décidé de continuer l'action engagée tous ensemble. Elle a donc adressé à la ministre Valérie Pécresse une nouvelle lettre, réaffirmant les mêmes revendications que dans la précédente lettre et demandant à être reçue de toute urgence - (afficher la lettre)

    L'intersyndicale des bibliothèques appelle les personnels à se mobiliser pour soutenir la délégation qui sera reçue au ministère (vous serez prévenus de la date de cette entrevue dès que les syndicats en
    auront connaissance) ; un préavis de grève sera déposé à cet effet.

    Et, d'ici là, continuez à faire signer la pétition en ligne :
    http://www.jussieu-en-lutte.fr/petition-biblios



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  • Fusion de corps, réforme de la catégorie B, menace sur les personnels de l’enseignement supérieur, blocage des grilles et des carrières, ces attaques n’ont qu’un but : réduire les budgets et les emplois des secteurs publics au nom du déficit public.

    Une première version du décret enlevait toute référence à la Fonction Publique de l’Etat pour les ITRF. Dès réception du texte le 13 janvier 2011, la CGT avait immédiatement dénoncé une telle mesure pouvant conduire les ITRF à devenir des fonctionnaires d’universités sous la coupe de présidents tout-puissants. Le ministère semble avoir aujourd’hui fait marche arrière, et n’enlèverait plus cette référence dans l’article 1 de son nouveau projet.

    Le corps des techniciens comprend 3 classes. Mais la classe supérieure est conçue comme un corps puisqu’on y accède par concours externe (bac+2), par concours interne, sélection professionnelle et au choix. Il n’y a plus de possibilité de passer directement par sélection professionnelle de Technicien Classe Normale à Technicien Classe Exceptionnelle.

    Lire ici l'intégralité du texte de la FERC-Sup CGT de l'UPVD


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  • TEMPO RISOLUTO

    http://www.youtube.com/user/Kosinki#p/a/u/0/5bR80bA167Q


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    Un article paru dans  l'Express le 3 février 2011  "Paris Diderot : Un campus en péril" nous livre cette information inquiétante :

    Alors qu'une partie des bâtiments doit être livrable pour la rentrée 2012, le calendrier pourra-t-il être tenu ? Des travaux supplémentaires devront-ils être envisagés ? Ces questions ne sont pas sans intérêt, au moins pour les finances de l'université. Un avenant a en effet été ajouté au PPP Paris-Diderot ; il stipule que les surcoûts éventuels au-delà de 500 000 euros seront à la charge de la faculté.  (C'est nous qui soulignons)

    Il semblerait, si ce que dit l'article est exact, que si des aménagements importants devaient être envisagés pour revoir la sécurité des bâtiments, si les délais de construction devaient s'allonger, l'ardoise pourrait être très importante pour l'université.

    Que nous sachions la Présidence Paris Diderot n'a pas commenté l'article, n'a pas confirmé ni démenti cette information sur l'avenant au PPP. 

     

    Plus de détails :

    Le dossier recours

    Vincent Berger répond :

    "J'ai entendu personnellement les conclusions des experts en sécurité du bâtiment qui se sont penchés sur le dossier. Leur conclusion est simple : il n'y a aucun risque pour la sécurité des personnes dans les projets de ces bâtiments. Les accusations prétendant l'inverse dans ce recours comme sur les sites internet polémiques appuyant ce recours ne sont pas recevables. Par exemple, les affirmations d'un prétendu défaut d'accès pompiers pour le bâtiment M5B2 sont fallacieuses. Tous ces éléments feront l'objet de présentations à la rentrée devant les instances de notre établissement. "

    ( A lire dans le message de Vincent Berger à lire dans ENT, message de la présidence du 29 juillet 2010)

    L'article du Canard Enchaîné

    Le projet sur le site Web de l'université : Paris Diderot se regroupe.

    Philippe Blandin, architecte du projet de l'un des quatre bâtiments en cours de réalisation en PPP pour l'Université Paris-Diderot (Paris VII), est interviewé par Denis Dessus, vice-président du Conseil national de l'Ordre :

    http://webtv.architectes.org/vie-politique/le-ppp-de-luniversite-paris-vii-un-cas-decole/

    “Je ne suis pas à la base contre les PPP, je pensais  même que c’était une solution intéressante, mais le problème c’est que la personne publique se décharge complètement sur la personne privée. Personne privée dont le travail ne souffre d’aucun contrôle. Pourquoi une telle confiance aveugle ? Qui en mesure réellement les conséquences ? Qui en assumera les erreurs et les arrangements ? Qui en garantit l’éthique si les architectes ne sont plus que des faire valoir ?" Philippe Blandin, à lire ici


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  • TEMPO RISOLUTO

    http://www.youtube.com/user/Kosinki#p/a/u/0/5bR80bA167Q

     


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