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Par biatossp7 le 1 Octobre 2010 à 16:32
Manifestation à Paris pour les retraites
Trajet / Parcours : départ 14h30 de République en direction de Nation
Deux parcours:
Parcours principal : République-Bastille-Nation
Carré de tête - Solidaires - UNSA - FSUDeuxième parcours:
République - Bd Voltaire - Nation
devrait concerner CFTC - CGT - CGC - CFDT
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Par biatossp7 le 1 Octobre 2010 à 16:31
Déclaration unitaire des Unions régionales
CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FSU, Solidaires et UNSA
La mobilisation unitaire ne cesse de croître pour faire reculer le gouvernement sur son projet injuste et inefficace de réforme des retraites.
Avec les organisations syndicales régionales, les salariés franciliens du privé comme du public montrent avec détermination, leur opposition à ce projet injuste mené au pas de charge dans un contexte économique et social dégradé, alors que l'emploi et le développement économique devraient être au cœur de l'action gouvernementale.
Le puissant rassemblement du 15 septembre devant l'assemblée nationale, les formidables journées du 7 et du 23 septembre ont montré la mobilisation grandissante des salariés. Les sondages d'opinion confirment ce refus massif de cette réforme gouvernementale et l'exigence d'un véritable débat national Pour la très grande majorité des français l'age légal de départ doit rester à 60 ans, et à 65 ans pour toucher une retraite à taux plein : les sénateurs dans les débats qui vont débuter le 5 octobre devront en tenir compte !
Les « mesurettes » proposés par le gouvernement sur la prise en compte de la pénibilité, les poly-pensionnés et les carrières longues ne changent rien à la logique de ce projet injuste et inefficace. Les organisations syndicales mettent en garde le gouvernement sur les conséquences que provoquerait l'ignorance de la colère qui s'exprime profondément. Elles réaffirment leur totale détermination, et appellent dès maintenant à faire du samedi 2 et mardi 12 octobre d'importantes journées d'actions.
Les Unions régionales CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FSU, Solidaires et UNSA confirment que « le vote de ce projet dans sa logique actuelle n'est pas d'actualité » ; ils demandent aux sénateurs de rejeter cette réforme injuste qui fait peser l'essentiel de l'effort sur les salariés et contribuera à accroître les inégalités.
Les organisations syndicales, fortes des grèves et manifestations imposantes, fortes de l'opposition d'une grande majorité des français au projet du gouvernement appellent l'ensemble des salariés du privé comme du public à se mobiliser encore plus massivement pour faire reculer le gouvernement sur ce projet inéquitable. Ensemble, il est possible de gagner !
Sachant que le texte de loi sera à l'examen du Senat à partir du 5 octobre, les organisations régionales appellent les franciliens à manifester le Samedi 2 octobre à Paris à 14h30 de République à Nation. Pour permettre l'engagement de nouveaux salariés dans l'action, pour conforter et amplifier la mobilisation, les organisations syndicales ont fait le choix d'un samedi :
Samedi 2 Octobre en cortèges : des entreprises, des établissements, des localités, en famille, entre amis tous à 14h30 Place de la République !
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Par biatossp7 le 22 Septembre 2010 à 21:58
Des collègues de P7 proposent un rendez-vous demain :
14h angle Pont de Sully et quai St Bernard
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Par biatossp7 le 21 Septembre 2010 à 13:53
Retraites : Jeudi 23 septembre 2010
ENSEMBLE POUR PLUS DE jUSTICE ET D’EGALITE !Manifestation unitaire
Départ à 13 heures à Bastille pour aller jusqu'à Denfert Rochereau
L’ensemble des organisations syndicales appellent à la mobilisation
Cgc, Cftc, Cfdt, Cgt, Fo, Fsu, Solidaires, UnsaTrajet / Parcours :
- départ à 13h de Bastille vers Denfert Rochereau
- prolongement du parcours après Denfert en direction du Medef (Métro École Militaire - 7e).
Trajet: Bd Henry IV, Pont de Sully, Bd St Germain, Bd Saint Michel, rue de l'Observatoire, Avenue Denfert, Place Denfert Rochereau
Ordre des cortèges syndicaux:
CFDT - SOLIDAIRES - UNSA - FSU - CFTC - CGT - CGC - FOPhoto Françoise Gourdal
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Par biatossp7 le 16 Septembre 2010 à 21:00
Une collègue nous a envoyé ce texte. Il suffit de remplacer les manifs du 4 et du 7 par celle du 23 et le texte est toujours d'actualité... Et il risque de le rester un bon bout de temps !
Chers amis citoyens,
Pour une reprise active de l’action dans la rue les 4 et 7 septembre,
pour une prise de conscience contre la casse des acquis du Conseil
national de la Résistance. Ne laissons pas faire cette poignée
d’exploiteurs qui affichent sans vergogne des milliards d’euros ou de
dollars de gain sur notre dos.
Soyons les 4 et 7 septembre des millions dans les différentes
manifestations pour préserver cet héritage collectif qui nous a été
transmis et que notre premier devoir : c’est aussi de le transmettre aux
générations futures. La réforme des retraites est l’un des dossiers
fondamentaux inscrit dans une politique et une stratégie gouvernementale
de rigueur approfondie et de remise en cause de valeurs profondes de
solidarité dans notre société. Rien n’est inéluctable, la bataille pour
la préservation des droits de la retraite par répartition instituée en
1946 n’est pas finie, au contraire : elle ne fait que commencer. C’est
aussi dans la rue, comme en 1995, et comme dernièrement pour le CNE/CPE,
faisons reculer le gouvernement qui sert les intérêts de ces infimes gros
possédants.
Arrêtons-les avant qu’il ne soit trop tard. Prenons notre destin en main,
soyons des millions dans la rue contre ce déni et cette parodie de
démocratie.
Augmenter les salaires, c’est aussi diminuer le nombre de chômeurs, c’est
plus d’argent dans les caisses de la Sécurité Sociale et plus d’argent
pour les retraites. Taxons le capital et les parasites de la finance qui
jettent des millions de salariés et leurs familles dans la misère.
L’avenir appartient à ceux qui luttent !!!
Marat s’il était là aujourd’hui, je suis sûr qu’il dirait encore à peu
près la même chose comme dans l’extrait de son ouvrage sur « Les chaînes
de l’esclavage » en 1774, édition de l’An I : 1792. 17
Discours aux électeurs de la Grande-Bretagne 1
Dans les temps de calme et d'abondance, au milieu des succès d'un
gouvernement paisible, les nations entraînées par le courant de la
prospérité, s'endorment sans défiance entre les bras de leurs chefs, et
la voix d'un dieu ne les réveillerait pas de leur léthargie. Mais dans
les temps de troubles et de calamités, lorsque les princes, marchant au
pouvoir arbitraire, foulent les lois à leurs pieds sans honte et sans
remords, l'attention publique est réveillée par les moindres objets, et
la voix d'un simple citoyen peut faire impression sur les esprits.
Messieurs, si en rassemblant sous vos yeux, dans un même tableau, les
odieux artifices qu'emploient les princes pour se rendre absolus, et les
scènes épouvantables du despotisme, je pouvais révolter vos cœurs contre
la tyrannie, et les enflammer de l'amour de la liberté, je m'estimerais
le plus heureux des hommes.
Le parlement actuel touche à sa fin, et jamais dissolution ne fut plus
désirée par un peuple opprimé : vos droits les plus sacrés ont été violés
avec audace par vos représentants ; vos remontrances ont été
artificieusement repoussées par le trône ; vos réclamations ont été
étouffées avec perfidie, en multipliant les griefs qui les excitèrent ;
vous mêmes avez été traités comme des sujets remuants, suspects et mal
affectionnés. Telle est notre position ; et si bientôt elle ne change, le
peu de liberté qui vous est laissé, est prêt à disparaître. Mais l'heure
des réparations s'avance, et il dépend de vous d'obtenir la justice que
vous réclamés en vain depuis si longtemps.
Tant que la vertu règne dans le grand conseil de la nation, les droits du
peuple et les prérogatives de la couronne, se balancent de manière à se
servir mutuellement de contrepoids. Mais dès qu'on n'y trouve plus ni
vertu ni honneur, l'équilibre est détruit ; le parlement qui était le
glorieux boulevard de la liberté Britannique, est métamorphosé en une
faction audacieuse qui se joint au cabinet, cherche à partager avec lui
les dépouilles de l'État, entre dans tous les complots criminels des
fripons au timon des affaires, et appuie leurs funestes mesures ; en une
bande de traîtres masqués qui, sous le nom de gardiens fidèles,
trafiquent honteusement des droits et des intérêts de la nation : alors
le prince devient absolu, et le peuple esclave ; triste vérité dont nous
n'avons fait que trop souvent la triste expérience.
De vous seuls, Messieurs, dépend le soin d'assurer l'indépendance du
parlement ; et il est encore en votre pouvoir de faire revivre cette
auguste assemblée, qui, dans le dernier siècle, humilia l'orgueil d'un
tyran, et rompit vos fers : mais pour cela, combien ne devez-vous pas
vous montrer délicats, dans le choix de vos mandataires ?
Rejetez hardiment tous ceux qui tenteraient de vous corrompre : ce ne
sont que des intrigants qui cherchent à augmenter leurs fortunes aux
dépens de leur honneur, et du bien être de leur patrie.
Rejetez tous ceux qui tiennent quelques places de la cour, quelque emploi
des officiers de la couronne ; quelque commission que le roi peut
améliorer : comment des hommes aussi dépendants, et semblables à ceux qui
remplissent aujourd'hui le sénat, vous représenteraient-ils avec
intégrité ?
Rejetez ceux qui mendient vos suffrages ; vous n'avez rien de bon à
attendre de ce côté là : s'ils n'étaient jaloux que de l'honneur de
servir leur patrie, descendraient-ils à un rôle aussi avilissant ? Ces
basses menées sont les allures du vice, non de la vertu : sans doute, le
mérite aime les distinctions honorables ; mais content de s'en montrer
digne, il ne s'abaisse point à les solliciter, il attend qu'elles lui
soient offertes.
Rejetez tous ceux qui sont décorés de quelques titres pompeux : rarement
ont-ils des lumières, plus rarement encore ont-ils des vertus : que
dis-je ? ils n'ont de la noblesse que le nom, le luxe, les travers et les
vices.
Rejetez la richesse insolente ; ce n'est pas dans cette classe que se
trouve le mérite qui doit illustrer le sénat.
Rejetez la jeunesse inconsidérée, quel fond pourriez-vous faire sur elle ? Entièrement livrée au plaisir dans ce siècle de boue, la dissipation,
le jeu, la débauche absorbent tout son teins ; et pour fournir aux
amusements dispendieux de la capitale, elle serait toujours prêt à
épouser la cause du cabinet. Mais fut-elle exempte de vices ; peu
instruite des droits du peuple, sans idée des intérêts nationaux,
incapable d'une longue attention, souffrant avec impatience la moindre
gêne, et détestant la sécheresse des discussions politiques, elle
dédaignerait de s'instruire pour remplir les devoirs d'un bon serviteur.
Choisissez pour vos représentants des hommes distingués par leur
habileté, leur intégrité, leur civisme ; des hommes versés dans les
affaires publiques, des hommes qu'une honnête médiocrité met à couvert
des écueils de la misère, des hommes que leur mépris pour le faste
garantit des appas de l'ambition, des hommes qui n'ont point respiré
l'air infect de la cour, des hommes dont une sage maturité embellit une
vie sans reproche, des hommes qui se distinguèrent toujours par leur
amour pour la justice, qui se montrèrent toujours les protecteurs de
l'innocence opprimée, et qui dans les différents emplois qu'ils ont
remplis n'eurent jamais en vue que le bonheur de la société, la gloire de
leur pays.
Ne bornez pas votre choix aux candidats qui se présenteront, allez
au-devant des hommes dignes de votre confiance, des hommes qui voudraient
vous servir, mais qui ne peuvent disputer cet honneur à l'opulent sans
mérite, qui s'efforce de vous l'arracher ; et prenez-vous-y de manière
que le désir de vous consacrer leurs talents ne soit pas acheté par la
crainte de déranger leurs affaires ou de ruiner leur fortune : repoussez
avec horreur toute voie de corruption, montrez-vous supérieurs aux
largesses, dédaignez même de vous asseoir à des tables prostituées.
Le cabinet suivant sa coutume, va déployer les plus grands efforts pour
influencer votre choix. Les attraits de la séduction triompheront-ils de
votre vertu ? La fierté anglaise est-elle donc si fort avilie qu'il ne se
trouve plus personne qui rougisse de se vendre ? Lorsque de si grands
intérêts commandent impérieusement, les petites passions oseront-elles
élever leurs voix ? méritent-elles donc d'être satisfaites à si haut prix
? À quels désastres mène le mépris des devoirs ! Voyez vos sénateurs
passer les journées entières à préparer, corriger et refondre des bills
pour consacrer la propriété de leurs lièvres ou de leurs chiens : tandis
que la moitié du peuple périssant de misère par la surcharge des impôts
ou les malversations des accapareurs, leur demande du pain. Voyez votre
patrie couverte des blessures que lui ont faites les agents de la cour,
épuisée d'inanition et baignée dans son sang !
Messieurs ! la nation entière a les yeux sur vous, dont elle attend le
terme de ses souffrances, le remède à ses maux. Si votre cœur, fermé à
tout sentiment généreux, refusait à vos compatriotes la justice que vous
leur devez : du moins, sachez sentir la dignité de vos fonctions, sachez
connaître vos propres intérêts. C'est à vous qu'est confié le soin
d'assurer la liberté du peuple, de défendre ses droits. Pendant le cours
des élections, vous êtes les arbitres de l'état, et vous pouvez forcer à
trembler devant vous, ces mêmes hommes qui voudraient vous faire trembler
devant eux. Serez-vous sourds à la voix de l'honneur ? Ah, comment une
mission aussi sublime pourrait-elle s'allier avec l'infamie de la
vénalité ? Que dis-je ? Ces candidats qui prodiguent l'or et n'épargnent
aucune bassesse pour vous mettre dans leurs intérêts, n'ont pas plutôt
extorqué vos suffrages, qu'ils laissent percer leur orgueil, et vous
accablent de dédains. Punissez-les de leur insolence, repoussez leurs
caresses hypocrites, songez au mépris qui les suit, et faites tomber
votre choix sur des hommes pénétrés de ce qu'ils doivent à leurs
commettants.
Le parlement sous l'influence de la cour, ne s'occupera jamais du bonheur
public. Ne concevez-vous pas que des intrigants qui ne doivent leur
nomination qu'à l'or qu'ils ont semé, non contents de négliger vos
intérêts, se font un devoir de vous traiter en vils mercenaires ?
Cherchant à raccrocher ce qu'ils ont dépensé pour vous corrompre, ils ne
feront usage des pouvoirs que vous leur avez remis, que pour s'enrichir à
vos dépens, que pour trafiquer impunément de vos droits. Quelques
présents peuvent-ils donc être mis en parallèle avec les maux que cause
la vénalité avec les avantages que vous procurerait un sénat pur et
fidèle ?
Songez aussi à ce que vous devez à la postérité. Combien vos ancêtres
étaient jaloux de transmettre intacts à leurs enfants, les droits qu'ils
avaient reçus de leurs pères ! Ce qu'ils ont fait avec tant de peine,
vous pouvez le faire avec facilité ; ce qu'ils ont fait au mépris de tant
de dangers, vous pouvez le faire sans péril. Le feu sacré qui brûlait
dans leur sein, n'enflammera-t-il jamais vos cœurs ? Ne laisserez-vous à
vos descendants, que des noms couverts d'opprobre ? Ne frémirez-vous
point à l'idée de faire le malheur des générations avenir ? Les siècles
de la liberté sont-ils donc passés sans retour ? Et faudra-t-il que vos
fils, en pleurant sur leurs chaînes, s'écrient un jour avec désespoir : «
Voilà les fruits de la vénalité de nos pères !
Messieurs ! avec du désintéressement et du courage, un peuple peut
toujours conserver sa liberté : mais une fois que ce trésor inestimable
est perdu, il est presque impossible de le recouvrer : or il est bien
près de l'être, lorsque les électeurs mettent à prix leurs suffrages.
1 Ce discours peut très-bien s'appliquer aux électeurs Français.
Les chaînes de l’esclavage
D’autre part, quelques chiffres :
L'ASSURANCE MALADIE 50 secondes de lecture à couper le souffle.
Dorénavant, sur une consultation médicale, nous versons 1 euro,
Nous sommes restreints lors de nos arrêts maladie ...
Nous devons consulter un généraliste avant de voir un spécialiste ...
Pour tout traitement de plus de 91 euro, nous en sommes de 18 euro de
notre poche,
Taxe de 0,50c sur les boites
etc....... Toutes ces mesures sont destinées à combler le fameux trou qui
est à ce jour de 11 milliards.
Or, savez-vous que :
Une partie des taxes sur le tabac, destinée à la Sécu, n'est pas
reversée. 7.8 milliards
Une partie des taxes sur l'alcool, destinée à la Sécu, n'est pas
reversée. 3.5 milliards
Une partie des primes d'assurances automobiles destinée à la Sécu, n'est
pas reversée 1. 6 milliards
La taxe sur les industries polluantes destinée à la Sécu, n'est pas
reversée 1,2 milliards
La part de TVA destinée à la Sécu n'est pas reversée. 2.0 milliards
Retard de paiement à la Sécu pour les contrats aidés 2.1 milliards
Retard de paiement par les entreprises 1.9 milliards
En faisant une bête addition, on arrive au chiffre de 20 milliards
d'euros.
Conclusion, si les responsables de la Sécu et nos gouvernants avaient
fait leur boulot efficacement et surtout honnêtement, les prétendus 11
milliards de trou seraient aujourd'hui 9 milliards d'excédent.
Ces chiffres sont issus du rapport des comptes de la Sécu.
Si les pouvoirs publics étaient vraiment convaincus qu'il nous faut
consommer 5 fruits et légumes par jour pour sauver notre santé et donc
l'assurance maladie, ils supprimeraient la TVA sur ces produits !
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